Avec ce titre provocateur, Yves Paccalet distribue des baffes à tous le monde. Et du genre bien violentes. Oui : nous, moi, vous, eux ! Et ça fait un bien fou !
Enfin un livre qui n’essaye pas de trouver une éventuelle solution teintée de rose bonbon, ou de vert bigarrée, c’est selon, où tout le monde s’en sort dans la joie et la bonne humeur !
Nan ! Ici il s’agit d’un bête constat des faits. Simple, limpide, et teinté d’un humour noir qui pourrait défriser une loutre galeuse au canon de 45. (sic). Oui, c’est triste à dire, mais nous sommes dans la merde.
Le lecteur attentif dira qu’on le savait déjà. Mais Monsieur Paccalet en rajoute tellement, qu’il parait désormais totalement improbable qu’un sursaut bienfaiteur ne viennent raisonner à temps notre espèce, de son idiotie congénitale.
Comme je l’ai entendu : On ne devient raisonnable qu’après la saignée !
Bref, il s’agit d’un livre à lire de toute urgence pour perdre définitivement la foi en l’humanité, pour abandonner les stéréotypes de nos cultures et pour peut être précipiter des tentatives de formes de société à échelle humaine, pour le temps qu’il nous reste, heures ou millénaires. Le but étant de vivre agréablement, en respectant les équilibres, la physique, tout simplement.
Je rêve, oui, mais est-il possible que le peuple perdant la confiance dans ce qu’on lui propose, et accessoirement en crevant la dalle, puisse accoucher d’une idée ? Et d’ailleurs, part chez nous, le 14 juillet on fête quoi exactement ?
Ainsi vont les choses. Ou pas !
Pour compléter ce billet, l’explication de l’auteur sur son livre et sa réflexion sur l’avenir de l’humanité.
« L’Humanité disparaîtra, bon débarras ! » par Naturavox
Ou encore, en deux parties :