Daniel Kaplan fait comme beaucoup le constat que nous sommes collectivement démunis face à la nature et à l’ampleur des transitions à venir, notamment celles que les transformations écologiques et les défis écologiques nous promettent. Pour trouver des solutions, il nous faudrait avant tout faire appel à l’imagination, à notre capacité à inventer des histoires, comme nous l’avons toujours fait pour appréhender le réel et nous projeter dans l’avenir.
D’autres futurs sont possibles, à condition que l’on se donne d’abord la peine de les imaginer…